mercredi 13 juin 2012

Madonna !
Tu es celle par qui la femme ose aujourd’hui exhiber de ce qu'elle ne s'est pas hasarder à laissé entrevoir hier ! Et même à 53 ans tirée de partout tu oses encore montrer tes seins ! Qui va donc lui parler pour qu'elle se repente, qui ?

lundi 3 octobre 2011


Depuis toujours, notre conviction est tout faite : quels que soient l’ampleur et l’enjeu des confrontations politiques, l’on ne peut instaurer un débat politique sain, loyal et inspiré par le code de l’honneur et de la dignité sans certaines valeurs majeures que sont la tolérance, le respect d’autrui et le sens de la solidarité nationale. Ces propos qui épousent, jusque dans la paraphrase les convictions du professeur Djibril SAMB exposées dans un ouvrage consacré aux actions d’un ancien Président de la République méritent une attention toute particulière.

Nous aurions bien voulu comme nous l’avions délibérément choisi, continuer à (re)tenir la plume hors de l’encre : nous interdire de nous prononcer sur les faits et gestes touchant d’une manière ou d’une autre la vie politique de la République. Toutefois, comme le dit Kwamé NKRUMAH : « l’on ne peut pas ignorer ce que l’on sait ». Autrement dit, l’habitude étant une seconde nature, il est pratiquement difficile de sortir de sa trajectoire naturelle ou feindre d’ignorer sa base théorique. C’est ainsi que, durant cette période de latence de l’expression régulière de nos opinions que nous voulions très longue, nous avions eu à nous reprendre sous l’effet de deux questions brulantes : l’une sur la réhabilitation officielle de Mamadou DIA et de ses compagnons d’infortune et l’autre sur la situation incertaine qui planait sur la Guinée (ces deux tribunes furent publiées par plusieurs quotidiens de la place). La présente contribution entre dans ce cadre mais surtout accentuée par une volonté de dire « stop » à une situation de «  trop ».

D’emblée, une chose me perturbe et peut être pourriez vous m’aider, chers lecteurs, à cerner certains détails : d’autres passent tout leur temps à reprocher à Karim WADE d’ignorer les réalités sénégalaises et quand ce dernier, au retour d’une mission ,juge opportun et conformément à nos traditions de passer rendre visite à la famille d’un ancien Premier Ministre avec qui il a partagé beaucoup de  choses, l’on s’empresse d’ouvrir la boite noire à fond multiples pour répandre dans la nature médiatique les vecteurs de la peste, essayant ainsi de masquer un geste de haute portée fraternelle et symbolique jugeant peut être que son initiateur ne mérite pas un si grand acte. Nous y reviendrons.

Ce qui nous intéresse en première et en dernière instance c’est la patrie, la République, indivisible et pérenne. Il s’agit ici du cas d’un citoyen sénégalais investi des charges de la République et qui est diffamé très souvent pour rien.

En toute objectivité, concernant Karim WADE, on a l’impression d’assister à une véritable tentative de subversion médiatique, à un puéril et symptomatique acharnement.

Lorsque notre joueur de poker choisi volontairement de se tromper.

Depuis presque une décennie nous nous sommes familiarisés avec les œuvres de Nietzche. Nous avons fréquenté le philosophe allemand par les dédales de la pensée et de l’intemporel. Il a cette force et ce génie de nous livrer des vérités crues et profondes au nom du «  gai savoir ». Dans une de ses lumineuses pensées on peut noter une réflexion dont la teneur suit : il se trouve seulement que la grande supériorité de ceux qui étaient simplement dupes ou qui se sont auto-dupés volontairement, c’est qu’ils en étaient parfaitement conscients. Nous voulons juste essayer de montrer l’incroyable opportunisme de ce singulier individu qu’est Robert BOURGI, qui prend ses «  amis » pour des pions dans sa vie de « damiste ». Il utilise parfaitement la méthode des joueurs de poker, ceux dont le rôle n’est que de miser sur les cartes qu’ils espèrent gagnantes. Mais pourquoi donc ce grand et mystérieux falsificateur a choisi en ce qui concerne ses fracassantes déclarations à l’encontre du chef de l’Etat sénégalais et du ministre d’Etat Karim WADE de réduire sa conscience à se contenter d’une sorte de duperie volontaire. En disant qu’il s’est trompé sur les WADE par rapport à ses déclarations reprises par le JDD, « Maitre » BOURGI a choisi de s’auto- illusionner et inconsciemment, il fait accéder à la verbalisation ce qui chez lui manifeste la volonté de se soustraire de toute parole. Justement, ce qui chez lui manifeste la volonté de se taire est le fait que pour des gens de son acabit, le gain, l’intérêt et le règlement de compte sont le soubassement de tout acte et de tout verbiage.

A vrai dire, comme l’a si bien souligné Babacar Justin NDIAYE, BOURGI, en associant dans ses fracassantes déclarations les Présidents WADE, COMPAORE, Sassou NGESSOU Obiang NGUEMA et feu Omar BONGO, a manifestement cherché à n’abattre que le Président sénégalais et le ministre d’Etat Karim WADE. Et pour donner à son jeu un semblant de crédit, à coté de WADE il énumère d’autres présidents Africains mais c’est Wade qu’il vise parce que c’est au Sénégal que les enjeux sont plus énormes en ce moment. Les accusations qu’il porte contre Chirac et Villepin c’est à la France de les régler. Qu’il accuse des autorités sénégalaises de choses graves et qu’il revienne à la charge pour dire qu’il s’est trompé, c’est au sénégalais de s’en occuper. Ah oui, BOURGI s’est vraiment trompé : il ne s’est pas trompé en appelant le journaliste du JDD pour un entretien, il ne s’est pas trompé pendant toute la période avant l’entretien il ne s’est même pas trompé au cours de l’entretien, il ne s’est encore pas trompé juste après la publication et des commentaires qui s’en sont suivis. Et subitement une plainte est servie, une convocation à répondre aux enquêteurs français notifiée, et Robert se rappelle qu’il s’est trompé, comme un coup de tonnerre dans un ciel serein. Arrêtez, on n’est pas au cinéma ! C’est cela que nous appelons l’auto-duperie volontaire car, il s’est trompé à dessein : il avait voulu délibérément se tromper. Devant la menace d’une plainte, notre homme de conflit a préféré transformer le mensonge en contre- vérité ou en une simple erreur. Rappelons que le mensonge est l’énoncé délibéré d’un fait contre la vérité. Il ne faut pas la confondre avec la contre-vérité qui désigne simplement une affirmation inexacte. Le mensonge est une forme de manipulation qui vise à faire croire ou à faire faire à l’autre ce qu’il n’aurait pas cru ou fait s’il avait su la vérité. Décidemment, tous ceux qui choisissent l’auto-illusion se révèlent être de grands manipulateurs. Ce qu’il a fait à son « neveu » est si inhumain, l’ « oncle » l’a tellement compris que pour revenir sur ses propos il lui a fallu placer les mots du ressentiment dans la bouche d’un autre, d’un avocat, de son avocat. Silence, c’est l’avocat de l’avocat qui parle.

C’est cela presque la tragédie de tous les artisans de la politique sans vergogne et sans envergure et qui malheureusement  pour répandre les vecteurs de la peste utilisent des journalistes qui ont vraiment la gueule de l’emploi.

L’acharnement médiatique d’une certaine presse : l’attitude douteuse dune répétition suspecte.

Pour l’honneur et le respect de la patrie, il faut vraiment se garder d’exagérer dans les manipulations puériles et dangereuses. Il ne faut surtout pas que les passions politiques et partisanes soient exacerbées à dessein pour se venger d’une frustration exclusivement personnelle. En parcourant les mémoires du grand Maodo (le patriarche Mamadou DIA), ces lignes ont beaucoup attiré mon attention : « on croit parfois atteindre un adversaire politique en le poussant à s’humilier, alors qu’en faite c’est son propre pays que l’on atteint ». La République demeurera quelle que soit la couleur du ciel, le cœur du Sénégal continuera à battre quels que soient les dirigeants politiques qui seront à sa tête. De ce point de vue, tous les acteurs de la vie publique, hommes politiques comme journalistes doivent éviter tout acharnement et toute information malveillante à l’encontre des citoyens de la république surtout s’ils sont placés à des niveaux de responsabilité au nom de la puissance d’Etat.

Tout observateur averti, de quelque bord qu’il puisse se situer constate aisément un certain harcèlement médiatique, un acharnement trop exagéré sur la personne de Karim WADE, un citoyen sénégalais, Ministre de la République. Presque quotidiennement l’on nous sert dans la presse des histoires les plus incrédules les unes que les autres. Et franchement cela indispose tout bon citoyen imbu des valeurs de cohérence et des bonnes articulations. Il est rare de voir un si grand acharnement et un si hideux lynchage médiatique à l’endroit d’une personnalité politique. Je peux comprendre l’attitude des hommes politiques dans une moindre mesure mais pas celle des journalistes. Honnêtement. Et nous pouvons en citer plusieurs exemples.

Un après-midi du mois de juin passé, une radio de la place, très écoutée interrompt subitement ses programmes et commence à diffuser la musique qui précède le plus souvent les grandes annonces. Je m’attendais à une information capitale et responsable. Ma surprise fut grande quand le journaliste annonce avec fierté, comme s’il venait de remporter un rarissime trophée : nous sommes bien avec Maitre Robert BOURGI qui nous appelle depuis la France. Maitre BOURGI vous confirmez…. C’était renversant. Peu importe que BOURGI  ait raison ou pas, ce qui est scandaleux c’est qu’une radio sénégalaise puisse interrompre ses programmes pour permettre à un individu qui se trouve à des milliers de kilomètres de chez nous d’essayer de ridiculiser une autorité de la République. Cette attitude n’honore point la presse de mon pays. Que le patron du groupe de presse auquel appartient cette radio puisse avoir certains problèmes avec Karim WADE, c’est normal mais que ses perroquets au micro (pardon, je voulais dire préposés au micro) puissent se bander les yeux et se boucher les oreilles, sacrifier l’esprit patriotique, le sens de la solidarité nationale à l’autel des humeurs et des frustrations personnelles du chef est incompréhensible.

Tout récemment un quotidien de la place, connu pour son antipathie manifeste envers Karim WADE, a titré a sa une, comme une « comme une véritable manchette qui gifle l’œil en passant » que leur l’homme à abattre  a été arrêté au Maroc en possession de drogue. Pour une accusation aussi gravissime, pour un fait incroyable, invraisemblable, nos journalistes ont franchi le Rubicon de la décence. Ses auteurs savent très bien qu’une telle information, quelle que soit sa provenance ne peut être qu’une monumentale et gigantesque erreur. Ce n’est point la peine de revenir sur ce dossier, les péripéties et les confusions parce que actuellement toutes ces accusations-confusions ont fondu comme neige au soleil. Ici, et ce qui est important est que l’histoire retiendra qu’il ya eu une volonté manifeste de nuire, une volonté de porter atteinte à l’honorabilité d’un homme. Décidément, le gars au quotidien   a un sérieux problème avec ce qui est droit, il préfère toujours les lignes courbes. Il a tellement la mauvaise conscience qu’il s’engouffre toujours à vouloir montrer qu’il est le reptile en chef de l’organisation des éditeurs de presse, derrière laquelle il se refugie pour se servir de couverture. Notre reptile en chef déployait des moyens surhumains pour obtenir des courriers du MICATTI (à l’époque du Ministère de la Coopération Internationale, de l’Aménagement du Territoire, des Transports Aériens et des Infrastructures) pour l’exhiber  comme un gibier obtenu après une journée de farouche chasse. Maintenant qu’il n’en a plus les possibilités, il se rabat sur des attaques personnelles injustifiées, je ne sais au profit de qui ou de quoi.

S’il demeure vrai que tout homme politique doit communiquer, être présent, visible, accepter quelquefois de répondre sans intermédiaire à des détracteurs, aller dans le pays profond, s’intéresser aux affaires du peuple, être ouvert, recevoir toutes les couches sociales, être attentif, prêter l’oreille aux démunis, être plus humble, anticiper et gérer les crises avec tact, il n’en demeure pas moins vrai aussi que ceux qui rapportent les informations doivent faire preuve d’une très grande responsabilité.

Ma conviction de jeune sénégalais est que l’on ne doit pas observer et justifier, au non d’une certaine conception de la politique ou de l’adversité  tout court, des virevoltes ou des habiletés auxquels les casuistes viennent construire des fondements intellectuels, en fonction des besoins. Nous avons toujours fait l’effort de nous laisser pénétrer par les plus hauts gestes et méthodes des dignes fils du sénégalais qui se sont toujours battus, depuis la période coloniale jusqu'à nos jours. Nous avions été intellectuellement nourris par les comportements et faits de l’un des plus illustres d’entre eux, le Président Mamadou Dia, nourris donc de la sève du socialisme autogestionnaire. C’est pour cette raison que nous serons toujours avec le Sénégal qui accepte de travailler, le Sénégal qui relève les défis, le Sénégal qui veut avancer et avec les compatriotes qui partagent cette vision et qui sont imbus de ces valeurs quels que soient leurs bords, leurs confessions ou leurs penchants politiques. Nous ne voulons pas du Sénégal des mesquineries et des retardataires.

                              Amadou Tidiane  FALL

                                                   Doctorant en Philosophie Politique
Le mouvement de contestation contre Wall Street s'étend à la ville de Los Angeles
  2011-10-03 13:47:19  xinhua
Environ 800 manifestants ont défilé et se sont rassemblés dans le centre de Los Angeles dimanche pour exprimer leur soutien au mouvement de contestation "Occupy Wall Street", qui a déjà organisé plusieurs manifestations à New York.

Environ 500 personnes se sont installées devant l'hôtel de ville de Los Angeles et environ 300 manifestants ont défilé dans les rues du centre-ville en scandant des slogans tels que "Nous sommes les 99%" et "Toute la semaine, toute la journée, occupons LA" (Los Angeles).

Beaucoup de manifestants portaient aussi des pancartes sur lesquelles les mêmes idées étaient exprimées : on pouvait lire par exemple "Nous sommes les 99%", "C'est notre pays, nous l'occuperons", ou encore "Les banques, on les a sauvées, nous, on nous a abandonnés".

"Le slogan 'Nous sommes les 99%' veut dire tout le monde, sauf les 1% les plus riches de la population, dont les manifestants estiment qu'ils sont les seuls bénéficiaires des politiques économiques des Etats-Unis", a expliqué un manifestant à l'agence Xinhua.

"Les Etats-Unis ont besoin d'un changement et nous avons besoin d'emplois", a dit un autre manifestant, tandis qu'un autre a souligné le caractère non-violent de leur mouvement.

Les manifestants, jeunes pour la plupart, regroupés sous la bannière d'un groupe qui a pris le nom "Occupy Los Angeles", protestent comme leurs homologues de New York contre la cupidité des milieux financiers, l'influence des grandes entreprises sur la politique, et le fait que la minorité des 1% d'Américains les plus riches continuent de s'enrichir alors même que la majorité de la population est confrontée aux problèmes du chômage et de la pauvreté croissante, et à des mesures d'austérité budgétaire.

A New York, le groupe "Occupy Wall Street" campe dans le parc Zuccotti depuis deux semaines et des membres du groupe se sont engagés à rester dans le parc tout l'hiver.